Qualiens participera à la première réunion du Club GDPR, lancé par KPMG, qui se tiendra le mardi 6 juin 2017.

Le Club GDPR a pour vocation d’échanger autour de problématiques communes liées à la protection des données à caractère personnel dans le cadre de la nouvelle réglementation européenne, à travers le témoignage d’experts et des échanges de bonnes pratiques dans le but de converger ensemble vers des solutions pragmatiques et bien entendu conformes !

La première session aura lieu autour des thématiques du « data mapping » et de la sous-traitance.

Frédéric Guénin, Avocat, Qualiens, interviendra sur le sujet : « Comment s’assurer de la conformité GDPR de vos sous-traitants ? »

Ce club se réunira plusieurs fois par an en fonction des besoins et de l’actualité.

Inscriptions auprès de KPMG : fr-club-GDPR@kpmg.fr

L’ASPIM (Association Française des Sociétés de Placement Immobilier) organise une réunion d’information relative à la protection des données personnelles le mercredi 31 mai 2017, de 9h00 à 10h30 dans ses locaux (10, rue la Boétie – 75008 Paris).

Entré en vigueur en mai 2016, le règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données, sera applicable à partir de mai 2018. A mi-parcours, quelles sont les mesures à prendre, les opportunités à saisir, les obstacles à anticiper ?

Cette réunion d’information, en partenariat avec KPMG et Qualiens Société d’Avocats, aura pour objet de vous présenter les points principaux de cette nouvelle réglementation ainsi que les mesures de sécurisation de vos données à mettre en œuvre.

A moins que vous soyez absolument sûr que votre entreprise ne traite rigoureusement aucune donnée à caractère personnel, vous devriez être concernés…

Elle sera co-animée par Frédéric Guénin, Avocat – associé du cabinet Qualiens, Vincent Maret, Associé du cabinet KPMG responsable du pôle Cybersécurité et Protection des données personnelles et Etienne Gaillard, Senior Manager du cabinet KPMG en charge de l’offre GDPR.

Inscription réservée aux seuls membres de l’ASPIM.

La Loi Sapin II en date du 9 décembre 2017 a habilité le Gouvernement à légiférer par voie d’ordonnance afin de prendre diverses mesures destinées à simplifier la prise de décision dans les entreprises et la participation des actionnaires, ainsi qu’à encourager le recours aux technologies numériques dans le fonctionnement des organes sociaux.

Dans ce contexte le gouvernement a adopté le 4 mai 2017 une nouvelle ordonnance (n° 2017-747) publiée au journal officiel le 5 mai 2017 qui intègre dans le Code de commerce diverses mesures facilitant la prise de décision et la participation des actionnaires au sein des sociétés.

Pour les SARL l’article L.223-27 du Code de commerce est amendé afin de prévoir que les associés détenant le vingtième des parts sociales pourront désormais faire inscrire à l’ordre du jour de l’assemblée des points ou projets de résolution. L’objectif est de faciliter la participation des associés minoritaires au processus de décision de la société.

Pour les SA dont les actions ne sont pas admises aux négociations sur un marché réglementé l’ordonnance crée un nouvel article L.225-103-1 dans le Code de commerce qui autorise la possibilité de prévoir dans leurs statuts que les assemblées générales se tiendront exclusivement par visioconférence ou par conférence téléphonique. L’objectif est ici de faciliter la participation des actionnaires au processus décisionnel. Les actionnaires représentant au moins 5 % du capital auront toutefois un droit d’opposition sur le recours à un tel procédé.

Pour les SAS l’article L.227-10 du Code de commerce relatif aux conventions dites réglementées est complété afin que les conventions intervenues entre la société par actions simplifiées unipersonnelle (SASU) et son associé unique ou la société le contrôlant, si l’associé unique est une société, bénéficient de la procédure dérogatoire propre aux SASU. Ces conventions, qui donnaient lieu à l’établissement d’un rapport du commissaire aux comptes, font désormais l’objet d’une simple mention au registre des décisions de l’associé unique. Le droit applicable aux SASU est ainsi unifié et un formalisme inutilement lourd est supprimé.

Enfin, toujours dans les SAS l’article L.227-19 du Code de commerce est amendé afin que la modification l’adoption ou la suppression d’une clause exigeant l’agrément préalable de la société dans le cas d’une cession d’actions ne requiert plus une décision unanime des associés. L’unanimité, bien que non obligatoire, pourra toujours être imposée par les statuts. Il est en outre prévu que les clauses d’agrément relèvent nécessairement d’une décision collective des associés.